2010 - 2013
Sur la commune, qui compte une cinquantaine de chasseurs,
il existe deux associations "CHASSE", créées en 1991
et qui se partagent la commune en deux plans de chasse.
Ces associations se réunissent pour chasser le gros gibier.
Et ce ne sont pas les brutes primaires et sanguinaires que l'on croit !
Bien au contraire !
Les chasseurs de notre commune vivent leur passion comme un service citoyen
que la prolifération du gibier, surtout depuis la tempête de 1999, a rendu indispensable.
Respect, maîtrise de soi et convivialité sont leurs maîtres-mots.
Et pour vous en convaincre, cliquez donc sur nos deux chefs-cuistots...
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Alain et Claude mijotent leur trophée...
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La cynégétique au service du citoyen
La Chapelle Gonaguet
au commencement du 3ème millénaire...
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Cliquez !
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BALL-TRAP des chasseurs 2013
Les associations de chasse ont organisé,
comme chaque année depuis 6 ans maintenant,
leur traditionnel Ball-Trap chasseurs au Pavillon,
...ball-trap traditionnel...resto & buvette...tir au rabbit...
Cette année encore, sur le site sécurisé du Pavillon
tirs de précision à la carabine laser pour garçons et filles...
Avec la participation de la
Société de Tir du Périgord
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Tireurs de toute la Dordogne, mais aussi quelques habitués de la Gironde, des Landes, du Lot et Garonne, du Cher, etc... et
quelques « stars » de la discipline…
Au-delà du Ball Trap, c’est un peu la « fête au village » avec d'autres attractions ou animations au programme : le « Rabbit », galet
roulant au sol, reproduisant la course facétieuse du lapin, et le tir à la carabine Laser pour les petits et les grands, stand animé par
la Société de Tir du Périgord.
Le site était particulièrement sécurisé pour accueillir les familles avec les enfants. Une restauration de qualité était proposée midi et soir,
et la buvette était servie en continu.
Quelques Sponsors soutenaient la manifestation comme d’habitude : AUCHAN, PERIGORD CHASSE PECHE, Peintures SIKKENS, Charcuterie Eric LAGARDE,
VLS (Viandes Limousin Service), ...
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affiche
voir compte-rendu en images
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Concours de BELOTE des chasseurs !
de nombreux lots
[deux canards gras avec foie, deux canards « maigres » (élevés "à la ferme"),
de nombreuses bouteilles d’apéritifs (whisky , Ricard),
des vins blancs et rouges de bonne qualité, etc...]
Tombola
avec en lots des vins, des accessoires ménagers ou de bricolage, des fleurs pour les filles...
Pendant toute la soirée la buvette
[sodas, bières et café pour accompagner les délicieuses crêpes au miel, confiture ou chocolat....]
À la fin des jeux, un Repas-Réveillon avec au menu :
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velouté à la tomate,
rôti de porc et haricots couennes-huile de noix,
Fromage.
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samedi 4 février 2012
Concours de BELOTE au Foyer rural
organisé par l'Amicale des chasseurs
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"Malgré le froid sévère et quelques annonces météo alamantes, les vrais passionnés ont répondu présent..."
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la suite...
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l'affiche
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Chasse sans fusil !
Compte-rendu en images de la balade du 4 septembre 2011
Rencontre CHASSEURS-MARCHEURS à La Chapelle Gonaguet
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5 février 2011
Concours de BELOTE au Foyer rural
La chasse aux CERVIDÉS... (novembre 2010)
Souvenir d'un repas-chasseurs... (27 avril 2009)
Souvenir d'un repas-chasseurs... (1er mai 2010)
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La chasse est un sujet passionnant...
et souvent passionnel !
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Historiquement, notre commune compte deux équipes constituées de chasseurs, ayant chacune leur propre plan de
chasse.
Selon les obligations liées à ce type d’association, chacune d’elles a son propre bureau et ses Directeurs de
battue.
Pour l'exemple, voici les bureaux constitués en 2011 :
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Équipe des REYSSOUX
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Équipe La CHAPELLE GONAGUET SUD
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Président d'honneur : Michel MARCHIVE
Président : Gérard BOISSEL
Vice Président : André SIOZARD
Secrétaire : Gisèle BOISSEL
Trésorier : Bernard GINESTIE
Trésorier adjoint : Joël DAVID
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Président : Pierrot PRIVAT
Vice Président : Claude RIBOULET
Secrétaire : Alain RAT
Trésorier : Jean-Jacques LAUNES
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La pratique de la chasse.
Généralement, ses partisans, mais aussi ses opposants, tiennent un discours excessif. Quant au public qui ne connaît
de la chasse seulement ce que les grands médias jugent bon de lui montrer, c’est-à-dire exclusivement les caricatures,
il a une tendance bien naturelle à prendre le parti de celui qui ne « tue » pas.
Les chasseurs,
en hommes responsables qu’ils sont, ont bien intégré que le temps béni de la chasse « cueillette » qu’ont connue leurs
grands-parents, où sans préoccupation écologique il suffisait de prendre un fusil pour chasser lièvres et perdrix,
ce temps là est bien fini.Quant à penser que ce sont les chasseurs qui sont responsable de la raréfaction du petit gibier,
ce serait un raisonnement bien simpliste. L’évolution de la société toute entière a conduit à ce constat, et les
chasseurs justement, par leurs actions efficaces, se posent en défenseurs et gestionnaires de la faune.
L’histoire
est pourtant simple. Dans un premier temps, la myxomatose a décimé le lapin, alors gibier de base du chasseur. Viendront
ensuite le remembrement qui a conduit à la destruction des haies-refuges, puis l’agriculture moderne avec son cortège de
produits phytosanitaires, qui mettront à mal le petit gibier (caille, faisan, perdreau, lièvre, …) soit en occasionnant
directement sa mort, soit en contrariant la reproduction. Et puis encore le développement du réseau routier et
l’urbanisation des campagnes, dévoreurs d’espaces et fractionnant les territoires ; si ce n’est le gibier qui est
directement touché, ce sont les biotopes, ce qui a moyen terme revient au même.
La nature des cultures
a changé dans nos campagnes, elle a permis à d’autres espèces de se développer, trop rapidement parfois, grâce notamment
à l’afflux de nourriture générée par le maïs, le colza, le tournesol, … Les semis de pins difficilement pénétrables,
offrant à la fois de succulents bourgeons et pousses aux cervidés, mais aussi de bons refuges aux sangliers et
quelques nuisibles comme le renard.
La chasse doit s’intégrer à la nature comme un de ses éléments.
Contrairement aux apparences, les intérêts bien compris des chasseurs
s’identifient dans l’ensemble à ceux des protecteurs,
notamment en ce qui concerne la protection des habitats."
Professeur Jean DORST
(Eminent Biologiste)
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Les Directeurs de battue
ont un rôle primordial dans le déroulement
de la chasse ; ils sont chargés de l’organisation de la chasse sur le terrain.Chaque battue débute par une sacro-sainte
réunion, au cours de laquelle les Directeurs de battues indiquent avec précision les espèces qui seront chassées, les
zones d’actions, les parkings correspondants, les emplacements des tireurs postés, les axes de déplacement des traqueurs,
etc...
Ils rappellent les obligations de chacun en matière de respect des règles de sécurité des personnes, qu’ils soient
chasseurs, riverains, promeneurs, sportifs, vététistes, automobilistes, etc…Chaque chasseur est un ambassadeur de la
chasse française et ses fautes rejaillissent sur tous. Il doit en être conscient, et dans sa tenue, et dans ses propos.
Soyons courtois avec les autres utilisateurs de la nature. Même quand il y a opposition d’intérêts, l’arrogance,
le mépris ou l’altercation ne règlent rien et nous valent autant d’opposants.
Plaidoyer pour la chasse :
quelques réponses à quelques questions que se posent quelques Chapelois...
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La chasse coûte-t-elle cher aux adhérents ?
Oui, si l’on considère le prix du permis de chasser, de l’assurance individuelle obligatoire, de l’achat des
bracelets, des cotisations auprès de la Fédération, du GIC, les munitions, l’habillement spécifique, l’entretien
des chiens, etc.La facture annuelle est d’environ 300 à 400€ par chasseur. Mais personne ne se plaint.
C’est un choix que chacun assume (comme d’autres vont au golf ou au tennis).
Les dégâts aux cultures
se caractérisent par des prélèvements alimentaires (abroutissements, écorçages, égrainages), mais aussi par des actes
comportementaux (gratis, fouilles, frottis, piétinements, etc...).
Il convient alors de limiter ces dégâts commis essentiellement par le grand gibier, car les agriculteurs ou sylviculteurs
ne travaillent pas pour percevoir des indemnisations, mais bien pour voir le fruit de leur travail arriver jusqu’à
la récolte et en tirer un juste bénéfice. Dans le cas d’une quantité d’animaux supérieure aux capacités d’accueil
d’un territoire, quelles que puissent être les précautions prises telles la pose de grillages, de clôtures électriques,
il ne sera pas toujours possible d’enrayer les dégâts. Force est d’admettre que certaines populations animales
doivent être régulées, et le chasseur est fortement sollicité pour remplir ce rôle.
Et les résidents ?
Qui ne s’est pas plaint d’avoir découvert au petit matin sa belle pelouse "labourée" par une laie et ses marcassins ?
Qui n’a pas eu l’occasion de se faire peur en évitant de justesse (ou pas) le chevreuil ou le sanglier qui traverse
la route ?...
La chasse est une nécessité
pour notre société. On peut donc considérer que les associations de chasse sont parmi les plus utiles dans notre commune.
En Dordogne, chaque année, les chasseurs prélèvent environ 10000 sangliers et 10000 chevreuils, soit à peu près le tiers
de la population existante. Pour la seule commune de La Chapelle Gonaguet, plus de 30 sangliers et 40 chevreuils.
Malgré ces résultats, de nombreux dégâts sont constatés sur les cultures, dans les potagers, vergers et pelouses,
sans compter les chocs avec les véhicules. S’il n’y avait pas de chasse, imaginez le désastre !Une laie porte
6 à 10 petits. Sans chasse, en quelques années seulement, nous aurions un déséquilibre écologique important, d’où
la nécessité d’encourager et d’aider les associations de chasse.
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Les chasseurs sont-ils des barbares ?
Ils tuent de gentils chevreuils ; c’est vrai, c’est joli un chevreuil ! Les mêmes personnes qui critiquent cette
chasse vont néanmoins dans les commerces acheter un poulet, un lapin, de l’agneau. Mais ont-ils pensé qu’à l’inverse
du chevreuil, ces animaux là n’ont eu aucune chance de mener leur propre vie à son terme : on les a élevés enfermés
dans des espaces réduits, et irrémédiablement tués. Le chevreuil, lui, a toutes les chances de se sauver pour
perpétuer sa race.
Les chasseurs sont-ils des viandards ?
La majeure partie des animaux tués est distribuée aux propriétaires, plus de 100 sur la commune. Le reste partagé
entre les chasseurs. La majorité n’aimant pas le gibier et l’offrent à des amis ou parents.
Les chasseurs sont-ils dangereux ?
Aucun promeneur n’a encore été pris pour cible sur la commune. Le chasseur posté écoute, écoute et écoute encore...
Il guette et analyse tous les bruits pour suivre le déroulement de la chasse. Soyez assuré qu’il a déjà entendu arriver
le promeneur bien avant que celui-ci ait détecté sa présence. Mais il est vrai aussi que le risque zéro n’existe pas.
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La chasse rapporte-t-elle à la société ?
80000 associations de chasse fédérées en 95 fédérations départementales, regroupées en 22 fédérations régionales.
Cette organisation représente 250000 élus bénévoles, et 1300 personnels qualifiés. D’un point de vue économique,
la chasse représente une activité conséquente, à l’origine de 23000 emplois. Son poids économique a été chiffré
à 2,3 milliards d’euros en 2008.
La chasse est un art de vivre
plus qu’un sport. Dans notre société ultra-médiatisée, ou l’on privilégie trop souvent la beauté des images à la
réalité des choses, le chasseur est un acteur de terrain. Nul mieux que lui ne connaît la campagne, les taillis,
les chemins presque effacés au plus profond des bois.
Notre vue de la chasse, telle que nous la pratiquons, est inspirée d’un ouvrage de Maurice BIGORRE, intitulé
"Plaidoyer pour une chasse écologiquement responsable". Si nous adhérons à cette philosophie de la chasse,
c’est qu’elle met en avant dans son concept, la gestion de la faune, des biotopes, l’équilibre écologique, et
par conséquent en appelle à l’esprit de responsabilité des chasseurs.
Jean-Jacques LAUNES
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Nos chasseurs font école !
Voici un document qui a vocation à montrer à la Fédération Départementale des Chasseurs
que nos équipes ont anticipé sur le sujet « partage de la nature ».
Ces grands décideurs (sic) vont s’appuyer sur cette initiative, déjà trois fois renouvelée,
pour inciter les autres associations de chasseurs à en faire autant...
Cliquez sur l'image !
- Attention, page lourde ! -
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Sus au goupil !
M. BRAMERIE, avec sa meute de 10 Anglo-français,
entraînera nos chasseurs à la chasse au renard
samedi 23 janvier et samedi 13 février 2010.
Tous ceux qui ont pratiqué cette chasse s'accordent à dire que c'est une des plus belles qui soit.
Pour les citoyens ruraux de notre commune, cette chasse sera vécue comme une aubaine, tant le renard représente
pour eux le nuisible le plus redouté.
Et pour information, sachez que tous les dimanches, il se tue, à La Chapelle, un à deux de ces prédateurs, et
que la population est bien implantée sur nos territoires.
Informations : cliquez sur ses traces...
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Les deux équipes font aussi, parfois, "chasse ensemble"...
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L'association dite "des Reyssoux", dont le président est Michel Marchive, vit sur ses propres deniers
pour les besoins courants... Ces derniers ont le droit de chasser le petit gibier, mais aussi les chevreuils,
car ils ont leur propre plan de chasse.
Et pour la chasse des sangliers et cerfs, le point de rencontre des deux équipes devient
obligatoire !
En effet, un plan de chasse commun est établi (réunification des deux plans) et un président unique est nommé :
Pierrot PRIVAT.
La grosse trésorerie, nécessaire au fonctionnement de cette chasse coûteuse, est gérée par La Chapelle sud, qui
finance les colliers de cerfs et sangliers, les colliers des chevreuils des deux équipes, les assurances, etc.
Les rentrées d’argent proviennent essentiellement du Ball-trap et du concours de belote.
Pour cette raison, nous exigeons que chaque membre des deux équipes s’investisse dans la réussite de ces deux évènements
majeurs, faute de quoi, nous serions contraints de passer la cotisation de chaque chasseur de 50€ à 250€
vraisemblablement...
Ceci explique que nous ne parlions plus que de "l’association des chasseurs" lors des deux évènements majeurs que
sont le ball-trap et la belote.
voir le souvenir du concours de belote 2010
J.J. LAUNES
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Les chasseurs et le sens de la responsabilité...
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Nos chasseurs chapelois, une fois de plus, démontrent le sérieux avec lequel ils pratiquent leur activité de chasse,
qui est autant un sport et un loisir qu'un service citoyen de gestion cynégétique du gibier
(la Fédération Française de Chasse leur faisant d'ailleurs obligation de réguler le gros gibier).
Soucieux de cultiver des valeurs de respect et de maîtrise de soi au sein de leur association, ils ont lancé
une campagne de sensibilisation à la responsabilité lors de la chasse, notamment en
diffusant des affiches sur le respect du garde, l’alcool et la chasse, les sanctions éventuelles...
Laissons-leur la parole :
"Le Président, les Directeurs de battue et les membres du bureau sont les responsables du bon déroulement des
actions de chasse, devant la fédération des chasseurs et devant la justice.
En plus de la réglementation générale sur la chasse, ils sont légitimes à fixer les règles locales applicables à tous,
à les faire connaître et les faire respecter.
Le Bureau a décidé de mettre en place un dispositif d’avertissement et de sanction, applicable à tout contrevenant
à ces règles. Le bureau appréciera la gravité des faits et pourra prononcer une sanction.
Sa décision sera notifiée par écrit.
Respectons les règles de sécurité, ou d’autres viendront nous les faire respecter.
Chasser est un acte responsable."
voir une affiche
voir une seconde affiche
Bravo à nos chasseurs chapelois !
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